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Boughmiga

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Ecologie, culture, art, tolérance, mystique, poésie....peuvent être débattues sur ce blog. Un support eco artistique, action mémoire de la mer, réalisée à Zarzis, peut être une référence aux commentaires et recherches.

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Sidi Toui, Sidi Ettouey, Eco spiritualité

Sidi Toui, Sidi Ettouey, Eco spiritualité 



Sidi Toui ou Ettouey, Eco spiritualité
 
                    Après deux heures de routes caillouteuses, sur un reg sec et aride, nous parvînmes à grimper au sommet de la montagne où perchent le marabout et la mosquée de Oummi Routtila. De ce sommet impressionnant, pour des habitués aux plaines, la vue s'étendait sur des dizaines de kilomètres et les dizaines de tentes et la centaine de voitures des fidèles visiteurs, s'éparpillaient à nos pieds.
                    A quelques kilomètres de la frontière Libyenne, l'emplacement de ce lieu de pèlerinage pour les Rbaiyaa et les Touazines, se trouve au milieu du parc national de Sidi Toui, dont les deux accès sont contrôlés par des gardes forestiers.
                    Au fond de la mosquée, un passage sous terrain, aux marches irrégulières descend dans la montagne avec des aires de repos juste suffisants pour quatre personnes. La descente n'est possible que pour un individu à la fois, et je fus aussitôt interpellé avec force par un rythme de Bendir irrésistible. Arrivée à l'intérieur de la grotte, à une trentaine de mètres sous la montagne, des hommes et des femmes dansaient autours de grands cercueils de la Sainte Routtila et sa fille. Sous la lumière nécessaire et suffisante  d'une centaine de bougies placées dans les murs de la grotte, je pouvais distinguer le grand noir qui tapait frénétiquement sur le Bendir et commandait ainsi, la cadence de l'ambiance. J'étais figé d'extase, d'illumination et de désincarnation de moi même, je ne sentais plus mon corps ni mon être, car j'étais pris dans le rythme et accrochés aux mots et cris qui percutaient contre le toit assez bas de cet espace. Un petit danseur et une femme assez énergique, se relayaient les incantations et les lamentations.
                     Je me suis réveillé de mon aura, quand le petit homme commença à réciter les supplications d'avant la fatiha " Dieu fasses qu'il pleuve, "Amin", Dieu fasses, que nos prairies verdissent et nos arbustes fleurisses,"Amin", Dieu fasses que nos tribus et nos troupeaux vivent en paix,"Amin", Dieu fasses que nos offrandes et notre sacrifice soient acceptés, Dieu fasses, que notre pèlerinage à Ommi Routtila et les Quatorze Saints de cet endroit, emmène des pluies déluviennes et l'opulence à nos contrées, "Amin"....
                    En bas de la colline, un ami nous expliqua que les douze tentes appartenaient à un même nombre de grandes familles de Rbaiyaa et dans un rapport de soumission avec les Touazines, qui devaient fournir le taureau pour l'offrande, invitaient ses derniers dans les tentes dans un rite de subordination et de soumission. D'ailleurs dés que les feus de nos voitures ont été repairés descendant d'en haut vers le campement, des gens accoururent pour nous dénombrer et nous faire subir le rite, mais quand ils surent que nous sommes des Akkara, ils nous ont apportés les grands plats sur place.
                    Tout de suite après avoir mangé le bon couscous, nous avons été attirés par un grand tapage de jeunes dévergondés qui faisaient une Hadhra très bruyantes et animées. J'ai pris mon Bendir et me suis dirigé vers eux. Sans me rappeler les circonstances, je me suis trouvé au milieu du groupe dans une danse frénétique avec des mouvements démoniaques et des cris sauvages que nous échangions  comme des cannibales sur excités. Heureusement, quelques jeunes me repoussaient chaque fois que je m'approchais des grands feux allumés autour de nous. Tout en sueur, je ne me suis arrêté que quand les Bendirs ont nécessité un léger réchauffement sur le feu pour mieux résonner.
                    De retour prés des voitures, les Rbaiyaa, maîtres de la place, nous envoyèrent un groupe de jeunes portant des chechs blanc cachant leurs visages, avec un flûtiste, pour animer notre campement et notre grand feu, et la danse reprit son rythme ascendant vers le créateur, sans les mots, seulement avec le son, le mouvement, les cris du ventre et la fusion totale dans le kairos.
                    Tout autour,  prés de chaque voiture et chaque tente, sous les lumières de chaque feu, des corps et des hombres d'hommes et de femmes dansaient, dans un appel de foi, un appel de sagesse, un appel de soumission, au créateur, pour arroser les prairies et perpétuer la vie. D'après ce que j'ai peu comprendre,  ici, on ne se soucie de l'homme que comme un élément de la nature et du cycle de la vie.
                    Par gentil hasard, ce jour de pèlerinage était mon anniversaire, et la providence ne pouvait m'offrir de mieux, que cet immense plaisir.
                    Le lendemain, la pluie tomba sur la région, pour de bon, et les oueds distribuèrent les eaux de la montagne sur les plaines. J'ai aussitôt dansé de gratitude, pour Sidi Ettouey, pour Oummi Routtila, pour touts les Saints connus, pour les Saints inconnus, pour touts les sages de la terre  et pour le créateur le tout puissant.
 
                                                                                Lihidheb mohsen
                                                                                    Eco artiste
                                                                              4170 Zarzis Tunisie
                                                                                  le 04 Nov.2006
 
 
 
 
 
 
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#Posté le lundi 01 janvier 2007 16:47

Modifié le mercredi 04 décembre 2013 16:21

Ecole plastiquiére





Ecole plastiquiére
 
           Ils étaient des filles et des garçons, comme une nuée d'abeilles ouvrières, longeaient la route touristique de Souihel à récolter ça et là le plastique, le papier...et les quelques paroles de sympathie des badauds.
Comme les abeilles aussi, le bruit de leurs disputes, jaseries, chants et exclamations diverses, accompagnait leurs gestes salvateurs. Des touristes étaient présents au départ de cette compagne, guidés par l'ami du village et de l'action mémoire de la mer,  l'Allemand Willy Imhof. Tout le monde participa à cette action de nettoyage avec joie et sans retenue, dans un élan sincère, confirmant l'universalité des problèmes de l'environnement.
          Pendant la pause, j'ai demandé aux enfants s'ils voulaient quelques choses à manger et tous ont opté pour la glace, ce que j'ai refusé sèchement car le climat est encore frais et je n'ai pas l'argent pour ça. C'est ce qui a déclenché la discussion, sur l'éducation alimentaire, environnementale, la lecture, l'Internet....la visite du musée mémoire de la mer, l'eco-citoyenneté...Ils discutaient tous à la fois, car n'étant pas leur instit, ni le Directeur de l'école, ni leurs pères, ils ont reconquis une liberté d'expression manquante. Ils buvaient carrément mes paroles et les sortaient en souffles de vie et de bonheur d'éxister.
          Après la pause, j'ai distribué des sacs et les enfants prirent la direction de la plage de Sonia en chantant. Aussitôt; ils s'organisèrent en ligne perpendiculaire à la mer,  et entreprirent de ratisser le sable fin et doré pour en débarrasser les bouteilles plastiques et autres objets inopportuns. Les dizaines de touristes en vadrouilles ou allongés pour le fameux bronzage, avaient bien apprécié l'action des enfants et levaient leurs index en haut en signe d'approbation et de soutien.
 
          Un grand Bravo, à ces écoliers de l'école Oued Abdennebi à Souihel, A monsieur Samir Trini, chef du comité du cartier et Monsieur Kamel Abichou, Président de la municipalité de Souihel.
 
        Avec la participation et le soutien de l'action "mémoire de la mer Zarzis"
 
                                                              Lihidheb mohsen      
 
 
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#Posté le mardi 02 janvier 2007 12:37

Modifié le samedi 12 février 2011 16:14

Zarzis, Sonia beach

Zarzis, Sonia beachZarzis Sonia beach



Zarzis Sonia beach
 
                    Je me rappelle comment elle était, quand nous la longions pour aller au collège de Zarzis, une caserne coloniale, transformé en école*. Elle était encore vierge, cette plage. Des arbustes marins et aquatiques, longeaient les dunes de sable de l'érosion marin. Les monticules d'algues noires sur le sable blanc, devant une mer très bleu, entrecoupée par des bouquets de  palmiers, étaient caressés avec tendresse par l'écume des vagues  et la brise du levant. Au bout, prés de la petite baie de Sidi Kbir, un monticule énorme de calcaire, s'érigeait majestueusement devant les vagues et les intempéries. Depuis il a été détruit par des bulldozers, comme les ksars, les bordjs, l'oasis, ...et pour de diverses déraisons communales,  l'éthique de la vie traditionnelle.
                    Maintenant, seuls quelques palmiers, replantés maladroitement, affichent leur manque d'intégration organique et esthétique avec le milieu. Des carrelages, des faïences, du béton, des bâtiments... ont remplacés le véritable oasis marin d'autrefois.
C'était aussi un lieu de ponte pour les tortues marines.
                    " Au début, j'ai pris les traces sur le sable, menant à la mer, à ceux d'un homme handicapé glissant sur la plage avec les mains et les pieds pour s'offrir une baignade, ce que j'ai continué à penser pendant des mois, jusqu'au jour où j'ai vu un attroupement d'oiseaux marins au dessus de l'endroit. En m'approchant, j'ai constaté quelques dizaines de petites tortues, gesticulant énergiquement pour parvenir à la mer, et échapper aux becs des prédateurs volatiles. S'étant éloignés devant ma présence, les oiseaux ont continué à repêcher les petites bêtes, même assez loin dans la mer entre les vagues. Alors j'ai eu l'idée d'en prendre et les disperser savamment dans l'eau tout le long de la plage, car en groupes ils étaient plus repérables et vulnérables."  C'était la déclaration d'un petit fonctionnaire habitant prés de Zarzis Sonia Beach et la preuve, que cet endroit était un lieu de nidification pour les tortues, que l'homme a détruit et qui a aussi envoyé du plastique dans la mer pour suffoquer ces pauvres animaux et récupérer leurs corps inertes sur cette même plage. C'est détruire la vie en amont et en aval de son parcours.
Et depuis, on sombre dans l'oubli, l'ennui et la plage fut investie par des milliers d'estivants, insouciants, se baignant, jouant ... à un jeu morbide de destruction, d'auto destruction.
Et depuis, mon ami, le témoin de la tortue, a aussi investi dans une baraque, pour vendre des rafraîchissants, des bonbons, et les denrées en plastiques.
 
*( en l'honneur des ismes, ... et la dépréciation de la culture universelle, elle fut reconvertie encore en caserne)
 
Lihidheb mohsen
4170 Zarzis TN  19.12.06
Eco artiste
www.seamemory.org
http://zarzissea.skyblog.com
 
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#Posté le mercredi 03 janvier 2007 10:42

Modifié le samedi 12 février 2011 16:16

Krarrtia, Krarrtia

Krarrtia, KrarrtiaKrarrtia, Krarrtia.



Krarrtia, Krarrtia.
 
                    Je le rencontrais souvent au centre de la ville, dans le chaos de la circulation, à battre, blanc, son cheval blanc, à la charrette blanche par le transport de chaux et ciment blancs. Il me voyait rouge et me haïssait presque, car dés qu'il lève son bâton, à battre son compagnon, je le prenais à la gorge. Il jurait, insultait, et passait sa route à claquer son fouet au dessus de l'animal peu concerné..
                    Je n'avais pas lâché de le harceler, en effet, le traquer comme il le faisait pour sa bête...et avec le temps, il finit par reconsidérer son attitude et m'accepta stoïquement, peut être comme une composante du décor, comme les jurons quotidiens ou les caprices de son cheval. Tout de même, il m'expliqua enfin, qu'il n'en était rien, et c'était juste des coups à la volée, avec l'oral, une communication avec le cheval.
                    Un jour, un après midi d'été, dans un coin de la plage, un tamtam résonnait avec la musique des vagues, et des personnes dansaient en  racontant des blagues. Les charrettes se dressaient haut les mains vers le ciel, et les chevaux se toisaient avec des hi et des han; et sur le sable fin blanc, les charretiers tournaient, comme de jeunes enfants.
                    Sur cette plage des pauvres, repoussés comme des intrus, les charretiers emplirent le lieu, de bonheur, où bêtes et humains s'enivrent de sagesse et joie de vivre.
                    Plus tard, au milieu de Ramadan, en passant, prés de l'endroit, une charrette se dressait sur la dite plage;  je m'en suis approché, sur la pointe des pieds, seul le cheval me remarqua, car mon ami, sous l'ombre de la charrette, faisait la sieste des  rois, la sieste des combattants, le repos du guerrier en cette fin de journée. J'ai tourné tout autour, sous le regard blanc du cheval, et partis sans déranger les rêves du charretier, du pauvre, du riche Krarrti.
Ainsi, Dieu, créa le monde, créa le bien et le mal, deux jumeaux qui se valent, se chamaillent sans pour autant pouvoir se séparer. C'est à l'homme, alors, de parvenir à un équilibre en dansant sur cette corde infini, de la vie.
 
                                                                                   Lihidheb mohsen
                                                                                       Eco Artiste
                                                                                 4170 Zarzis Tunisie  
 
 
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#Posté le jeudi 04 janvier 2007 12:56

Modifié le samedi 12 février 2011 16:19

Eco Mosquées

Eco MosquéesEco-Mosquées



Eco-Mosquées
 
                    Lorsqu'on est en conciliation dynamique, active et permanente avec le créateur et les créatures, on peut se permettre d'aborder de bonne foi, certains sujets, occultés et négligés par l'unanimisme ou l'obscurantisme stérilisant.
                    J'ai personnellement grandi dans une période, où la Mosquée du village était complètement en symbiose avec l'oasis, les hommes et leurs activités. On initiait les enfants à la lecture et l'écriture. On encadrait moralement sans excès les jeunes. On donnait à manger aux pauvres. On priait sur des nattes (Hassir) fabriquées par les tiges de plantes locales par les techniques traditionnelles d'artisans locaux. On buvait de l'eau fraîche dans des jarres, Obara, gargoulettes en terre cuite. On se parfumait en sortant de la prière, par de l'eau de rose. On irriguait le verger par l'eau des ablutions légères, sachant que la Mosquée encourageait le boisement en arbres fruitiers et interdisait la destruction des arbres dans un périmètre de 3 km autour de ce lieu de culte.
                    Maintenant, les tapis synthétiques aux odeurs toxiques, ont remplacé les nattes. Les glacières fabriquées en Chine ont remplacé les jarres de Guellala. Les appareils électromagnétiques ont remplacé la belle voix du Muezzin. Les projecteurs et extravagances lumineuses ont remplacé la lumière de Dieu et les bougies palpitantes d'autrefois, avec toutes les conséquences en consommation d'énergie. Les dizaines de voitures devant chaque Mosquée et à chaque prière, démontrent que les gens ne viennent plus à pieds, mais utilisent les voitures et  consomment beaucoup de carburants.
                    "C'est un nouveau riche qui a offert une tapisserie synthétique complète pour notre Mosquée, mais devant les quintes de toux des vieillards allergiques aux odeurs chimiques qu'ils respirent à pleins poumons quand ils se prosternent,  je commence à regretter ces dons empoisonnés." m'a affirmé un Imam.
 
                    Pourquoi, donc, la Mosquée ne se démarquerait 'elle pas de la consommation sauvage et reste en harmonie avec ses alliés naturels, l'artisan et l'éco-systéme.??                  Que Dieu nous guide vers le bon chemin.
 
                                                                         Lihidheb mohsen
                                                                  Mémoire de la mer Zarzis    
  www.seamemory.org                
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#Posté le vendredi 05 janvier 2007 07:46

Modifié le samedi 12 février 2011 16:20

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